Le beau temps des voileux

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Pour le vacancier sur la côte d’azur ou en montagne en été, un ciel bleu sans nuage ou seulement quelques mignons petits cumulus de beau temps – cela fait chic sur les photos – et du soleil sont les conditions essentielles du beau temps.

Pour le skieur, il faut qu’il neige la nuit et que le soleil brille sur une neige poudreuse et légère.

Pour le canoïste en recherche de sensation, une rivière bien remplie est la définition du beau temps; il se moque quelque peu de la pluie et du soleil.

Pour le voileux, le vent est la priorité pour faire avancer son bateau. Pour une croisière de rêve, il n’en faut pas trop et le soleil est plus que bienvenu.

Pour un bateau en course, il faut aller vite. Pour aller vite, il faut du vent. Le vent, on le trouve principalement aux alentours des dépressions qui sont toujours accompagnées de nuages – il y a de nombreuses exceptions. Et qui dit nuage, dit pluie

Sur cette course, on est vraiment bien servi, on a, depuis que l’on a quitté le pot-au-noir, du vent et de la pluie.

Vu le nombre de PS la dernière fois, aujourd’hui y en a qu’un petit.

PS. Commence à en avoir marre de mettre des habits mouillés pour monter sur le pont et un truc humide pour m’allonger sur ma banette humide. En plus, cela démange de la pointe des cheveux au bout des orteils. Et dire que l’on a payé pour ça aussi !

Je suis dans l’obligation d’en ajouter un important.

PS. La course 7 est modifiée par la suppression de la prochaine marque et l’ajout de plusieurs nouvelles, allongeant le parcours d’environ 1200 nM, histoire d’arriver après la fin du Tet.